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titane

  • Titane (Julia Ducournau)

    Dans son discours de remerciement pour la palme d’or cannoise, Julia Ducournau parle de la chance qu’elle a eue de pouvoir créer le monstre qu’est Titane. Dans mon souvenir, elle répète qu’il n’est pas parfait, que la perfection n’est pas atteignable mais qu’elle y a mis tout son cœur. Je la crois sincère et ayant prévu d’aller au cinéma ce soir-là, je renonce à Benedetta de Verhoeven pour aller découvrir la sensation cannoise toute fraîche. J’avais vu et critiqué Grave qui m’avait « secoué », c’est le terme employé dans l’article mais j’avais pointé déjà quelques limites d’écriture : une difficulté à utiliser le temps et à écrire des personnages intéressants. Titane comporte les mêmes défauts qui cette fois-ci excèdent largement ses qualités et nous font penser que soit cette palme est un coup, soit la sélection de cette année n’était pas suffisamment forte.

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