Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

noémie merlant

  • Les Olympiades (Jacques Audiard)

    C’est à dessein que Jacques Audiard a installé son film dans ce quartier parisien des Olympiades, 13ème arrondissement. Portant son regard loin du patrimoine haussmannien et des touristes, il s’intéresse à un Paris moderne, peuplé de jeunes actifs célibataires soucieux de profiter de la vie. Le noir et blanc de son directeur de la photographie Paul Guilhaume magnifie l’architecture verticale et la blancheur du quartier. Les pulsations électroniques du compositeur Rone visent à injecter de l’énergie aux images. L’ambition est de faire sentir une intensité qu’on a l’habitude d’associer à Londres, New York ou Hong Kong.

    Lire la suite

  • Portrait de la jeune fille en feu (Céline Sciamma)

    Le film commence lorsqu’à son cours de peinture, on demande à Marianne (Noémie Merlant) qui est la jeune femme en feu sur un des tableaux de son atelier. Marianne se souvient alors de son séjour sur une île de Bretagne, en 1770. Héloïse (Adèle Haenel) a été sortie du couvent par sa mère la comtesse (Valeria Golino) pour épouser un riche milanais. Il faut envoyer au futur marié le portrait de sa promise mais celle-ci refuse de se laisser peindre. La comtesse imagine un subterfuge : faire venir Marianne, peintre de son état, et la faire passer pour dame de compagnie auprès de sa fille. Isolées et sans homme autour d’elles, avec Sophie comme servante (Luàna Bajrami), Marianne et Héloïse finissent par s’aimer. Héloïse accepte de poser.

    Lire la suite