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soo-il jeon

  • La petite fille de la terre noire (2007), autre facette captivante du cinéma coréen

    2016 est une année faste en France pour le cinéma coréen. Mademoiselle, The Strangers, Dernier train pour Busan, quel trio ! On parle ici d’un cinéma qui mixe le genre (thriller, horreur) et des obsessions d’auteur. Ce cinéma percutant et erratique, c’est le mode d’expression d’un pays malade de son passé (colonisation japonaise, dictature) et de son capitalisme écrasant et paternaliste. Le cinéma coréen tel qu’on l’a reçu ces dernières années mélange un savoir-faire américain avec des obsessions locales. Et puis soudain, changement de registre et d’influences ! On reçoit un DVD d’un film sorti en France en 2007, La petite fille de la terre noire de Soo-il Jeon et on tombe sur une œuvre « sociale », très intransigeante dans sa forme. Dans une interview trouvée sur internet, le cinéaste évoque parmi ses influences Antonioni, Bresson et Tarkovsky. Une autre façon de faire du cinéma au pays du matin calme, toute aussi passionnante.

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